Claude Gaillard. Paris juin 2010
Je viens vous saluer et vous remercier en même temps pour les excellents moments que nous avons connus avec vous lors de notre voyage en Sibérie en juin dernier lors d'une escale du Transsibérien à Irkoutsk sur les bords du lac Baïkal. J'ai garde un très bon souvenir de vous, de votre gentillesse et surtout de votre culture. Nous avons poursuivi notre route en Mongolie, en Chine puis au Cambodge dont ma femme est originaire. Il n'est pas impossible qu'un jour, nous puissions de nouveau nous rencontrer. Ce qui serait une grande joie. J'espère que vous pourrez réaliser vos projets car le site de votre ville, sa richesse culturelle, avec cette marque de mon pays et la proximité du lac en font une destination unique en Sibérie. Bon courage et bonne chance.
Alain, 53 ans. Beziers février 2010
Super, grandiose, bonne organisation, félicitations à Irina. Ce n'était que du bonheur, bravo également à nos guides russes fétards et sympas, rencontres également pleines de surprises, des gardes forestiers hors du communs, serviables, accueillants, merci à Vladimir et Youri. Merci pour cette aventure!
Martine. Normandie juillet 2009
Notre voyage de retour s'est bien passe, avec de superbes images dans les yeux et toute ta gentillesse dans le coeur. Merci encore pour ces super vacances avec ta compétence, ta patience, ta disponibilité et la qualité de ton équipe.
Marie-Claude. Paris mai 2009
Agée de 30 ans, Irina a su enchanter toutes les membres de notre groupe (âgés de 33 а 84 ans) . Outre son français frisant la perfection, elle a su organiser des prestations de qualité (aussi bien culturelles que sportives) et nous faire partager avec amour et humour toute l’histoire et le quotidien de sa Sibérie natale. Elle a aussi fait preuve de beaucoup de sens pratique quand des élements extérieurs l’ont obligé à modifier le programme prevu.
Janine Locatelli. août 2008
Notre séjour à Moscou s'est passé sans problème, je suis revenue assez fatiguée car nous avons beaucoup marché et visité, carte et guide à la main. Mais ravies ! Nous garderons un excellent souvenir de notre escapade au Baïkal avec un grand regret : trop court bien sur. Mais nos yeux sont pleins de magnifiques paysages et notre coeur d'amitié pour ces rencontres sympathiques avec une mention très bien pour Galina à Irkoutsk. Merci Irina pour ta gentillesse et ta compétence.
Groupe de MarsansTranstour. juin 2008
Quand Irina rencontre des touristes Qu'est-ce qu'elle raconte? Des histoires des chamanes Quand un chamane rencontre des touristes Qu'est-ce qu'il raconte? Des histoires d'omouls Quand un omoul rencontre des touristes Qu'est ce qu'il raconte? Des histoires d'Angara Quand Angara rencontre des touristes Qu'est-ce qu'elle raconte Des histoires de son père Quand l'Baïkal rencontre des touristes Qu'est-ce qu'il raconte? Des histoires de Russie Quand Irina rencontre des touristes Qu'est-ce qui se produit On est tous sous le charme
Audrey août 2004
Reparlons du voyage. Il est loin maintenant mais il y a des souvenirs ou des petites scènes qui resteront à jamais gravées dans notre mémoire. Il n’est pas courant de voir des petits Français en Russie et nous l’avons remarqué, par l’intérêt et, peut-être, une certaine fascination des Occidentaux que nous étions, de la part des personnes que nous avons croisées durant notre séjour. L’école est le lieu où l’on s’en rendait le plus compte. L’école est différente de chez nous pour plusieurs raisons. La discipline instaurée dans les classes est stricte mais ne gène en rien les élèves. Le cours en est que plus ordonné. Ce qui est impressionnant à voir c’est la diversité des activités qui sont proposés aux élèves dans l’enceinte de l’école : danse, théâtre, musique, presse ecrite, ateliers audio et video, jardinage, sports de compétition, s’occuper d’animaux, de la cuisine... Ce que j’ai remarqué dans la ville d’Irkoutsk, c’est le nombre de transport en commun : entre les bus, taxis, taxis-bus, tramway... Il n’y a pas de place pour les cyclistes et pour les pietons. Le code de la route est différent là-bas et je ne me permettrais pas de critique à ce propos. Ce qui m’a le plus emerveillé dans ce voyage, c’est le paysage. Dépaysement total ! Le Transsibérien nous a montré un bon nombre de paysages que l’on peut trouver en Russie : la plupart blancs. Mais ce que je retiendrais dans toute cette aventure, c’est ce pourquoi nous sommes partis : le Baïkal. Il ne s’agit pas seulement d’en parler, car on ne peut expliquer le Baïkal, il faut le voir et l’écouter pour le comprendre. De ce lac émane une magie qui ne demande qu’à s’épanouir. Mais c’est en été, je suppose, qu’elle prend toute son ampleur. J’aimerais y retourner un jour pour revoir à perte de vue, les grandes plaines de Bouriatie pour voir si effectivement, la faune et la flore sont aussi belles que dans les videos et s’il émane autant de vie que l’on le prétend.
Francoise et Rémy MEYER. Alsace. juin 2004
Nous sommes partis un matin pour l’île d’Olkhone, île sacrée des chamanes. Après un voyage de près de 300 km nous prenons le bac pour pénetrer sur l’île. Notre destination est le village de Khoujir au milieu de l’île. La route traverse la partie septentrionale de l’île et se fraye un chemin au travers de la partie nue de l’île, ici pas un arbre car le vent d’hiver empêche toute végétation. Nous arrivons enfin à Khoujir où nous accueille Nikita. L’ambiance est sympathique et détendue. Nikita est un ancien champion de ping-pong qui a choisi de vivre sur cette île en offrant le gite et le couvert aux touristes. Nous sommes logés dans de sympathiques maisons de bois réalisées par Nikita et son équipe. Le confort est sommaire mais c’est propre; les chambres fleurent bon odeur du bois. Une cuisinière efficace mitonne des petits plats typiques. Un tour dans le village nous permet de voir les nombreuses maisons en bois bouriates et russes. Nous profitons du coucher de soleil pour voir les premières falaises se colorer de rouge dans la lumière cristalline du soir. La bania et le feu de camp le soir permettent de se détendre apres une longue et riche journée. Le lendemain matin nous allons en 4*4 russe au cap nord. Le trajet jusqu'à la pointe de l’île est réellement impressionnant. Il traverse la partie boisée de l’île le long des falaises à pic. C’est un feu d’artifice de couleurs au milieu d’un paysage grandiose à mi-chemin entre la Corse et les fiords scandinaves. Les couleurs et la transparence de l’eau rappellent le littoral croate. Notre déjeuner : des omouls pêchés le matin. L’île fait 80 km sur une largeur de 15 à 20 km pour une population de 2000 personnes. Ici pas d’eau courante, pas de téléphone. On se sent vraiment au coeur d’une nature preservée qui dicte aux hommes leur rythme de vie. L’impression de liberté et d’espace est totale. Les paysages sont impressionnants et il n’y a pas de limite pour une immersion totale au sein de la nature. La seule chose que nous souhaitons c’est de découvrir à nouveau cette île en hiver, ce qui est tout à fait possible.
Bernard et Mary-Jose Gieysse. Mont-de Marsan septembre 2000
Découvrir la Sibérie en l'an 2000, c'était partir avec des rêves, des images suscitées par la lecture de romans d'aventures, par la vision de reportages et avoir en main le premier guide touristique de la Sibérie “le Petit futé” - année 2000. Elle nous attirait depuis longtemps, cette terre d'exil, de forêts et de fleuves immenses. Dans ce royaume de la neige et du froid, en cette fin du mois d'août l'été se prélassait encore, il faisait + 18 au dessus du zéro. Nous voulions voyager dans le mythique Transsiberien, séjourner à Irkoutsk et découvrir le Baïkal. Nous étions attendus à Irkoutsk. Notre famille d'accueil et toutes les personnes que nous avons rencontrées, les habitants, nos guides, se sont montrés si chaleureux que nous avons eu l'impression d'évoluer dans un cercle d'amis. Il est certain que nous n'avons eu aucune difficulté d'integration et que nous avons pu visiter les sites les plus attrayants de ce pays envoutant. Nous avons eu la surprise de découvrir Irkoutsk: une capitale européenne d'avant-garde sur les rives asiatiques de l'Angara, soucieuse de preserver son magnifique patrimoine de maisons de bois du XVIIIe siècle, soucieuse aussi de garder vivante la noble influence des Décembristes. Partis au Baïkal, nous avons pu l'aborder et l'admirer en trois lieux différents : à proximite du village bouriate d'Elantsy, sur l'île d'Olkhone et à Listvianka où s'echappe l'Angara. Il est toujours apparu comme un énorme joyau transparent, irisé, enchassé dans de vertes immensites, habités seulement de divinités chamaniques. S'exclamer "le Baïkal, c'est la nature à l'état pur! " et formuler le voeu qu'il le reste toujours, cela pouvait être le but de notre voyage.
Hubert Larrère. Les Landes. septembre 2000
J'au vu récemment sur Voyage un reportage sur le trekking en Amérique du Sud et plus particulièrement au Pérou. Des images superbes dans des paysages grandioses. Cela se passait autour du lac Titicaca et cela me rappelait avec nostalgie le Baïkal: c'était à peu pres la même végétation, une nature sauvage avec quelques habitants différents de nous, plus simples de mode de vie, mais aussi terriblement plus resistants au froid et aux conditions de vie. Et ce qui m'a touché c'est que les indiens péruviens tout comme les Bouriates du Baïkal ont exactement le même respect de la nature. Comme eux, avant de traverser certains endroits, ou bien de commencer leurs repas, ils remercient la terre qui les nourrit, qui les habille, qui les abrite. Et comme eux, symboliquement, ils versent un peu d'alcool sur le sol comme une offrande à leurs divinités. Tu te rends compte, à des milliers de kilomètres, les mêmes gestes pour le même but avec, cependant, des mots différents !! Je sais bien que l'on appelle cela le chamanisme mais je me dis aussi que l'on ferait bien de méditer cela nous, européens, prisonniers de nos préjugés et de notre société de consommation. Malheureusement, nous sommes en train de couper toute relation avec la nature, la vie simple, une vie heureuse... Domage !!!! Seuls peut-être, quelques poètes ou quelques paysans (ou paysans-poètes) ont encore gardé le contact..... J'ai été également surpris de voir que beaucoup de gens recherchent ce genre de voyage : le dépaysement, l'exotique.